Letrain de la vie Bernard Deletang Le train de la vie Nous sommes tous dans le mĂȘme train mais pas avec la mĂȘme Ă©galitĂ©. Lire cette oeuvre Lire plus tard SuggĂ©rer des corrections Rejoignez nos plus de 80 000 membres amoureux de lecture et d'Ă©criture !
Sciences Passeur de sciences PubliĂ© le 30 septembre 2015 Ă  19h01 Temps de Lecture 4 min. Par ses fables, Jean de La Fontaine avait pour ambition de se servir "d'animaux pour instruire les hommes". La fable qui ouvre son premier recueil est la cĂ©lĂ©brissime historiette de La cigale et la fourmi, inspirĂ©e d'Esope. Si l'Ă©crivain grec montre, dans son texte, les fourmis en train de s'activer – elles font sĂ©cher du grain –, son lointain successeur français ne se donne mĂȘme pas cette peine et tient pour acquise, tout en la renforçant, l'image de la fourmi travailleuse. Cette image a pris une telle force que, dans les dĂ©finitions du dictionnaire une fourmi peut dĂ©signer une personne laborieuse et une fourmiliĂšre un lieu oĂč s'affairent un grand nombre d'humains. On a d'ailleurs attribuĂ© le succĂšs Ă©cologique des insectes sociaux abeilles, fourmis, termites... Ă  la division du travail et Ă  la spĂ©cialisation des individus qu'ils mettent en place, un mode d'organisation dont Homo sapiens s'est inspirĂ© dans bien des domaines, que ce soit l'industrie, l'informatique, la robotique ou la logistique. Pourtant, tout cela pourrait bien ĂȘtre bĂąti sur un mythe car fourmis et travail ne seraient pas si synonymes que cela, si l'on en croit plusieurs Ă©tudes dont la derniĂšre en date vient de paraĂźtre dans le numĂ©ro de septembre de la revue Behavioral Ecology and Sociobiology. Biologistes Ă  l'universitĂ© d'Arizona, les auteurs de cet article sont partis du constat, posĂ© par plusieurs travaux antĂ©rieurs, disant que, dans des fourmiliĂšres Ă©tudiĂ©es, environ la moitiĂ© des individus semblaient inactifs. Ils ont donc voulu vĂ©rifier si c'Ă©tait bien le cas et tester plusieurs hypothĂšses pouvant expliquer cette "oisivetĂ©" comme par exemple un besoin de repos imposĂ© par l'horloge interne ou un excĂšs de travail. Pour ce faire, ces chercheurs sont allĂ©s sur le terrain, prĂšs de Tucson Arizona, collecter cinq petites colonies de Temnothorax rugatulus, une fourmi nord-amĂ©ricaine, et les ont installĂ©es dans des nids artificiels imitant les fissures de rochers que cette espĂšce affectionne comme habitat. Mais au lieu d'ĂȘtre complĂštement entourĂ©s de roche, les insectes vivaient sous une plaque de verre, afin que l'on puisse les observer. Les fourmis avaient Ă  leur disposition eau, nourriture mais aussi ces grains de sable qu'elles utilisent pour construire des murs dans leurs colonies. Comme il fallait pouvoir identifier chaque insecte pour analyser son comportement, les chercheurs ont patiemment dĂ©posĂ© sur toutes les fourmis une combinaison de quatre points de peinture – un sur la tĂȘte, un sur le thorax et deux sur l'abdomen – quelques jours avant que ne commence l'expĂ©rience. Celle-ci a consistĂ© Ă  filmer les cinq colonies non pas en continu mais sur dix-huit Ă©pisodes de cinq minutes chacun, six par jour pendant trois jours eux-mĂȘmes rĂ©partis sur une pĂ©riode de trois semaines. Enregistrer les images Ă©tait Ă©videmment la partie la plus aisĂ©e de l'histoire. Le casse-tĂȘte a dĂ©butĂ© aprĂšs, lorsqu'il a fallu analyser, pour chaque individu, la totalitĂ© de ces vidĂ©os, un vrai travail... de fourmi. Les observateurs avaient pour mission de noter toutes les activitĂ©s que les insectes entreprenaient, de l'amĂ©nagement du nid aux soins apportĂ©s aux Ɠufs/larves en passant par l'approvisionnement Ă  l'extĂ©rieur, la toilette personnelle ou celle des congĂ©nĂšres, ou encore cette activitĂ© particuliĂšre qu'est la trophallaxie, qui consiste Ă  rĂ©gurgiter une partie de la nourriture ingĂ©rĂ©e dans ce que les entomologistes nomment le "jabot social", sorte de second estomac qui sert de garde-manger pour les fourmis trop occupĂ©es qui n'ont pas le temps d'aller se sustenter. Et bien sĂ»r, les chercheurs enregistraient toutes les pĂ©riodes d'inactivitĂ©. Sur les 225 insectes suivis, quatre grandes catĂ©gories sont apparues celle des puĂ©ricultrices 34 fourmis, celle des ouvriĂšres travaillant hors du nid 26, celle des gĂ©nĂ©ralistes faisant un peu de tout 62 et enfin celle des oisives 103 ! ne faisant rien de leur temps ou presque, quelle que fĂ»t la pĂ©riode du jour ou de la nuit oĂč on les observait. Pour les auteurs de cet article, force est de constater que rien, ni le besoin de se reposer ni un rythme circadien, ne semble justifier cette inactivitĂ© quasi permanente. Les fourmis qui travaillent font ce qu'elles ont Ă  faire, quel que soit le temps que cela prendra et ne sont pas relayĂ©es par les autres pas de trois-huit chez elles. Les auteurs reconnaissent que trois semaines d'observation ne sont peut-ĂȘtre pas suffisantes pour identifier une fonction mystĂ©rieuse qui serait mal comprise par les entomologistes. InterrogĂ© par le New Scientist, Tomer Czaczkes universitĂ© de Ratisbonne a ainsi Ă©mis l'idĂ©e que ces fourmis puissent ĂȘtre une sorte d'armĂ©e de rĂ©servistes, attendant que l'on ait besoin d'elles soit pour dĂ©fendre la colonie, soit pour aller faire une razzia d'esclaves dans une autre fourmiliĂšre... Daniel Charbonneau, un des deux auteurs de l'Ă©tude avec Anna Dornhaus, semble pencher pour d'autres hypothĂšses. Les fourmis oisives ayant moins d'interactions avec les autres, elles pourraient tout simplement ne pas ĂȘtre au courant que du travail les attend ou, plus subtil, faire en sorte... de l'Ă©viter. Dans un second article paru dans le numĂ©ro d'octobre du Journal of Bioeconomics, Daniel Charbonneau et Anna Dornhaus se demandent ainsi si la paresse, ou du moins le fait qu'une fraction de la population choisisse l'inactivitĂ©, n'est pas la consĂ©quence naturelle d'une organisation du travail complexe. L'oisivetĂ© pourrait donc en fin de compte ĂȘtre une activitĂ© comme une autre... Quoi qu'il en soit, ces deux chercheurs, en dĂ©molissant le mythe de la fourmi laborieuse, soulignent que ce rĂ©sultat implique que toutes les Ă©tudes d'entomologie s'intĂ©ressant aux tĂąches "actives" sont biaisĂ©es puisqu'elles oublient que prĂšs de la moitiĂ© de la population s'adonne Ă  une spĂ©cialitĂ© importante le farniente. Pierre BarthĂ©lĂ©my suivez-moi ici sur Twitter ou bien lĂ  sur Facebook Post-scriptum sans rapport avec le sujet ce jeudi 1er octobre Ă  18h30 je parlerai de science improbable au MusĂ©e des arts et mĂ©tiers, Ă  Paris. Renseignements et inscriptions ici. Pierre BarthĂ©lĂ©my Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil Ă  la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. DĂ©couvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. 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\n \n\n le train de la vie texte
JimTully, Vagabonds de la vie : Autobiographie d’un hobo. Trad. de l’anglais (États-Unis) par Thierry Beauchamp. Éd. du Sonneur, 287 p., 18 €. Dans la rĂ©alitĂ©, le hobo est un passager clandestin du rail, un homme (rarement une femme, exception faite de la cĂ©lĂšbre Boxcar Bertha) dont le voyage est dictĂ© par la nĂ©cessitĂ©

10 juin 2009 3 10 /06 /juin /2009 2004 Le train de la vie La vie est comme un voyage dans un train on monte et on descend; il y a des arrĂȘts, des imprĂ©vus, des retards, des pannes, des accidents, 
 Quand on naĂźt et qu'on monte dans le train, nous rencontrons des personnes qui, croyons-nous, resteront avec nous pendant tout le voyage ce sont nos parents. Malheureusement la vĂ©ritĂ© est toute autre car il arrive qu’ils descendent dans une gare plus rapprochĂ©e, sans nous prĂ©venir de cette sortie subite
 Il y a d'autres personnes qui montent Ă  bord et dont la prĂ©sence sera dĂ©terminante ce sont nos frĂšres et nos sƓurs, nos amis, nos proches. Quand certaines d’entre elles descendent, elles laissent en nous une nostalgie pour toujours. D'autres montent et descendent tout de suite. C’est Ă  peine si nous avons le temps de les croiser et de les connaĂźtre. Et d’autres qui, Ă©puisĂ©s par le voyage, veulent prĂ©maturĂ©ment sortir du train... Parfois, on s’étonne de voir que certains passagers que nous aimons, s'assoient dans un autre wagon. Ils nous laissent voyager seul et ce, mĂȘme s’ils savent que nous les cherchons partout dans le train. Et quand nous les retrouvons, la place Ă  cĂŽtĂ© d’eux est dĂ©jĂ  prise
 Le grand mystĂšre du voyage est que nous ne connaissons pas le moment oĂč nous descendrons du train pour toujours, pas plus que nous ne connaissons celui de nos compagnons de voyage ou mĂȘme, de celui qui est assis juste Ă  cĂŽtĂ© de nous. Essayons donc de faire le plus beau voyage possible, de partager nos diffĂ©rentes dĂ©couvertes, d’égayer mutuellement notre trajet et surtout, de nous entraider quand nos bagages deviennent trop lourds
 Pour ma part, quand je quitterai ce grand train de la vie, oui, je serai triste. Par contre, je serai en paix car j’aurai fait mon possible pour ĂȘtre un bon compagnon de voyage... Texte non inclus dans Petites douceurs pour le coeur. PensĂ©e de la semaine Chaque personne que je rencontre, c'est Dieu habillĂ© d'une façon diffĂ©rente. Comment reconnaĂźtre la nuit du jour? Un professeur demande Ă  ses Ă©tudiants Comment reconnaĂźtre le moment oĂč la nuit s'achĂšve et le jour se lĂšve? — Lorsque l'on peut distinguer un mouton d'un loup, rĂ©pondit un Ă©tudiant. — Non, ce n'est pas la rĂ©ponse, dit le professeur.— Quand on peut faire la diffĂ©rence entre un figuier et un olivier, suggĂ©ra un autre. — Non, ce n'est pas la rĂ©ponse, dit le rabbin. — Alors comment, demandĂšrent les Ă©tudiants en chƓur? — Au moment oĂč, voyant un inconnu, nous reconnaissons en lui un frĂšre, alors le jour se lĂšve et la nuit prend fin. » Cliquez sur l'image Souvent, une phrase suffit Ă  Ă©clairer une vie. » VoilĂ  qui rĂ©sume bien l'essence mĂȘme de ce livre qui regroupe Ă  lui seul plus de 450 pensĂ©es, histoires et citations, toutes plus inspirantes les unes que les autres. Vous en ferez vite votre nouveau livre de chevet. Charest, Nicole. Petites douceurs pour le coeur, Un monde diffĂ©rent, 2008 — Pour consulter la table des matiĂšres, cliquez ici. — Pour profiter du rabais rĂ©servĂ© aux abonnĂ©s, cliquez ici. — Pour les personnes qui ne sont pas abonnĂ©es, cliquez ici. — Pour commander de l'Europe Fnac, Amazone ou Libre Entreprise. Diaporama Coup de coeur RĂ©flexions de clowns... Une musique entraĂźnante, 21 pensĂ©es inspirantes, des images amusantes, voilĂ  de quoi dĂ©buter l'Ă©tĂ© sur le bon pied... Cliquez ici pour la suite de ce beau diaporama La blague du blog Toto va voir sa maman — Maman, Maman... je me suis fait mal ! — OĂč ça ? — LĂ -bas ! PubliĂ© par Nicole Charest - dans Bonheur-Paix-ApprĂ©cier la vie

Unevie est passée. La vie est si belle quand elle le veut. Quand elle veut, elle attend un peu. Attends, attends moi. Tiens moi la main. Ne monte pas dans ce train. Viens dans mes bras. Le temps d'un cùlin. Reste avec moi ce soir.
Le Train De La VieLa vie est pareille a un trainChaque stations est une Ă©tapeCertains descendentD’autres stagnent au mĂȘme endroitCe n’est qu’une question de choixDescendre de ce train est risquĂ©Mais il faut avancerVas, dĂ©couvre, apprendTel un jeune arbre au printempsFait germer le fruit de ta pensĂ©eEt plus tardReviensD’un pat sur et certainTend ta mainPour transmettre ton savoirA celui qui voudra le recevoirSyllabation De L'ÉcritSyllabes HyphĂ©nique Le Train De La Viela=vieest=pa=reille=a=un=train 7cha=que=sta=tions=est=uneĂ©=tape 7cer=tains=des=cendent 4dautres=sta=gnent=au=mĂȘ=meen=droit 7ce=nest=quune=ques=tion=de=choix 7des=cendre=de=ce=train=est=ris=quĂ© 8mais=il=faut=a=van=cer 6vas=dĂ©=cou=vre=ap=prend 6tel=un=jeunear=bre=au=prin=temps 7fait=ger=mer=le=fruit=de=ta=pen=sĂ©e 9et=plus=tard 3re=viens 2dun=pat=sur=et=cer=tain 6tend=ta=main 3pour=trans=mettre=ton=sa=voir 6a=ce=lui=qui=vou=dra=le=re=ce=voir 10PhonĂ©tique Le Train De La Viela vi Δ paʁΔjə a Ć“Ìƒ tʁɛ̃ʃakə stasjɔ̃z- Δt- ynə etapəsΔʁtɛ̃ desɑ̃dedotʁə- staÉČe o mΔmə ɑ̃dʁwasə nΔ kynə kΔstjɔ̃ də ʃwadesɑ̃dʁə də sə tʁɛ̃ Δ ʁiskemΔz- il fo avɑ̃seva, dekuvʁə, apʁɑ̃tΔl Ć“Ìƒ ʒənə aʁbʁə o pʁɛ̃tɑ̃fΔ ʒΔʁme lə fʁɄi də ta pɑ̃see plys taʁʁəvjɛ̃dĆ“Ìƒ pa syʁ e sΔʁtɛ̃tɑ̃ ta mɛ̃puʁ tʁɑ̃smΔtʁə tɔ̃ savwaʁa səlÉ„i ki vudʁa lə ʁəsəvwaʁSyllabes PhonĂ©tique Le Train De La Viela=vi=Δ=pa=ʁΔjəa=Ć“Ìƒ=tʁɛ̃ 7ʃakə=sta=sjɔ̃=zΔ=ty=nəe=tapə 7sΔʁ=tɛ̃=de=sɑ̃=de 5do=tʁəs=ta=ÉČe=o=mΔməɑ̃=dʁwa 7sə=nΔ=kynə=kΔs=tjɔ̃=də=ʃwa 7de=sɑ̃dʁə=də=sə=tʁɛ̃=Δ=ʁis=ke 8mΔ=zil=fo=a=vɑ̃=se 6va=de=ku=vʁə=a=pʁɑ̃ 6tΔl=Ć“Ìƒ=ʒə=nəaʁbʁə=o=pʁɛ̃=tɑ̃ 7fΔ=ʒΔʁ=me=lə=fʁɄidə=ta=pɑ̃se 7e=plys=taʁ 3ʁə=vj=ɛ̃ 3dĆ“Ìƒ=pa=syʁ=e=sΔʁ=tɛ̃ 6tɑ̃=ta=mɛ̃ 3puʁ=tʁɑ̃s=mΔtʁə=tɔ̃=sa=vwaʁ 6a=səl=É„i=ki=vu=dʁalə=ʁə=sə=vwaʁ 9 Historique des Modifications Commentaire Sur La Poesie25/08/2016 2350CoburitcLe train de la vie , beaucoup de chansons sur ce sujet , le petit train des Rita l’une des plus belle. Jean-Pierre Cest ça le train d'la vie, vive la vie. Mais si tu manques la marche. On n'en parle plus. Le train de la vie. C'est un petit train qui fait des arrĂȘts pipi au lit. Des arrĂȘts cafĂ© au lait. Il fait des "tiens" des "comme c'est curieux" des "Ah bon t'en es bien sĂ»r". Des "vraiment je savais pas".

ï»żParoles de la chanson Le train de la vie par Gilbert Becaud Le train de la vie C'est un joli petit train qui te mĂšne du berceau Jusqu'Ă  la fin de la fin Il fait des "youp" des "bravos" des "Hou la la" Des "Pourquoi t'es pas venu" des "comment t'es dĂ©jĂ  lĂ " Chacun le prend Y'en a qui voyagent assis D'autres qui dorment debout C'est ça le train d'la vie, vive la vie Mais si tu manques la marche On n'en parle plus Le train de la vie C'est un petit train qui va Des montagnes de l'ennui Aux collines de la joie Il fait des "oui" des "peut-ĂȘtre" et puis des "non" Il fait le jour et la nuit Ça dĂ©pend de la station "Gare de triage. Attention dĂ©part" Oh les beaux wagons que voilĂ  Si ça dĂ©pendait de moi J'les prends tous Ă  la fois Attention tu vas rester sur le quai J'ai peur de me tromper de voie Chanteur, Pasteur, Avocat Mais le train n'attend pas Le train de la vie C'est un petit train qui fait des arrĂȘts pipi au lit Des arrĂȘts cafĂ© au lait Il fait des "tiens" des "comme c'est curieux" des "Ah bon t'en es bien sĂ»r" Des "vraiment je savais pas" Chacun le prend Y'en a qui voyagent assis D'autres qui dorment debout C'est ça le train d'la vie, vive la vie Mais si tu manques la marche On n'en parle plus Il fait pousser Des jolis ventres tout ronds Des"Oh le joli bĂ©bĂ©... Oh le vilain moribond" Il fait des "oui" des "peut-ĂȘtre" et puis des "non" Il fait le jour, il fait la nuit Ça dĂ©pend de la station Terminus. Tout le monde descend Oh vraiment ce train va trop vite C'est une course poursuite A travers les annĂ©es Attention il faut dĂ©gager les quais Les autres voyageurs sont lĂ  Ils te bousculent de joie Et le train n'attend pas Le train de la vie C'est un petit train qui va Des montagnes de l'ennui Aux collines de la joie Le train de la vie C'est un petit train tout bleu Qui te mĂšne de l'ennui Jusqu'au pays du Bon Dieu. Paroles Pierre Philippon. Musique Gilbert BĂ©caud 1978 © 1978 Editions BMG

Letrain de la vie. C'est un petit train qui fait des arrĂȘts pipi au lit. Des arrĂȘts cafĂ© au lait. Il fait des "tiens" des "comme c'est curieux" des "Ah bon t'en es bien sĂ»r". Des "vraiment je savais pas". Chacun le prend. Y'en a qui voyagent assis. D'autres
La vieillesse est un cheminement naturel dans la vie. Elle entraĂźne diffĂ©rents changements physiques et psychologiques. Alors que certains la redoutent et d’autres l’apprĂ©cient Ă  sa juste valeur, il est intĂ©ressant de se pencher sur la perception de la vieillesse dans l’ signifie rĂ©ellement ce terme ? Quelles sont les consĂ©quences de la vieillesse sur notre physique et notre moral ? Comment est-elle perçue exactement ? Les Ă©volutions actuelles de la sociĂ©tĂ© n’ont-elles pas changĂ© notre vision ? Toutes les rĂ©ponses dans cet article. La vieillesse et ses consĂ©quences Victor Hugo a dit L’un des privilĂšges de la vieillesse, c’est d’avoir, outre son Ăąge, tous les Ăąges.» Les effets de la vieillesse et le rapport avec celle-ci ne sont pas vĂ©cus de la mĂȘme façon selon les personnes. Pour certains, vieillir est une fatalitĂ© puisque la vieillesse est associĂ©e Ă  un changement physique, Ă  la diminution progressive des fonctions cognitives et Ă  l’apparition de la dĂ©pendance. Elle s’accompagne mĂȘme parfois du sentiment de ne plus se sentir utile. Autant de consĂ©quences qui fragilisent les personnes dans leur estime et leur dignitĂ©. Une reprĂ©sentation de sagesse Pour d’autres au contraire, la vieillesse reprĂ©sente l’expĂ©rience, la sagesse et la volontĂ© de vouloir transmettre une histoire Ă  travers ses joies mais aussi ses peines. Vieillir signifie alors avoir vĂ©cu, la consĂ©cration d’une vie en quelque sorte, marquĂ©e par diffĂ©rents Ă©vĂ©nements. En Afrique par exemple, le vieillissement se pense en termes d’acquisition et de progrĂšs, trĂšs loin de certaines images associĂ©es Ă  la dĂ©chĂ©ance ou Ă  la perte d’utilitĂ© sociale. Je vous laisse apprĂ©ciez le texte suivant de Louis-Vincent Thomas dans Voyage au bout de la vie »Alexandra de Saivre La vieillesse en Afrique noire, par Louis-Vincent Thomas“En Afrique noire, principalement dans les zones rurales, la vieillesse n’est pas vĂ©cue comme une dĂ©chĂ©ance, le vieillissement se pense avant tout en termes d’acquisition et de progrĂšs. Les sociĂ©tĂ©s traditionnelles, orales, ont besoin de leurs vieux, symboles de leur continuitĂ© en tant que mĂ©moire du groupe. Aussi, la crĂ©ation d’hospices oĂč l’on accumule des vieillards est encore refusĂ©e comme “malsaine” ou “scandaleuse”, et jamais le vieux n’est abandonnĂ© au dĂ©nuement et Ă  la en ville, et sans doute aussi dans l’immigration en Europe, le vieillard perd de son utilitĂ© sociale. On l’écoute de moins en moins, on rĂ©cuse sa sagesse et dĂ©jĂ  on lui reproche d’ĂȘtre improductif, on lui fait comprendre qu’il est de trop”. Perception de la vieillesse comment a-t-elle Ă©voluĂ© en France ? Il y a bien longtemps, dĂšs les mythes grĂ©co-romains, la vieillesse Ă©tait considĂ©rĂ©e comme une malĂ©diction, Ă  contrario de la jeunesse, associĂ©e au bonheur suprĂȘme ». Il faut lutter contre la vieillesse tout comme on doit lutter contre la maladie »CicĂ©ron Art romain – Buste de CicĂ©ron 106-43 homme politique et orateur romain La reprĂ©sentation d’une “vieillesse-sagesse” est rĂ©apparue pourtant Ă©pisodiquement tout au long de l’Histoire, oĂč se sont alternĂ©es les pĂ©riodes dominĂ©es par les plus ĂągĂ©s avec celles oĂč le pouvoir Ă©tait aux mains des plus jeunes. Aujourd’hui, le contexte d’allongement de la durĂ©e de vie reprĂ©sente une victoire, pour laquelle se sont battues des gĂ©nĂ©rations et des gĂ©nĂ©rations. Les personnes ĂągĂ©es sont parfaitement intĂ©grĂ©es dans la sociĂ©tĂ© et leurs besoins sont de plus en plus pris en compte, mĂȘme si l’image de la vieillesse est aujourd’hui mise Ă  mal. Les conditions de vie sont aujourd’hui plus confortables qu’auparavant pour mieux vieillir et permettent aux seniors d’élaborer des nouveaux projets de vie. Ainsi, la vision de la vieillesse que l’on se faisait auparavant n’est plus la mĂȘme grĂące aux loisirs, aux activitĂ©s intergĂ©nĂ©rationnelles, aux voyages ou encore aux Ă©volutions d’Internet. Et pourtant la vieillesse fait peur. Qui n’a pas peur de vieillir ? Demandez aux plus jeunes, s’ils veulent vieillir, peu vous diront oui. Elle fait peur car dans notre pays, elle n’est pas valorisĂ©e Ă  sa juste valeur. En vieillissant, le senior est souvent vu comme un poids pour la sociĂ©tĂ©, un coĂ»t. Son sentiment d’utilitĂ© se rĂ©duit avec l’ñge, qui lui augmente. La transmission intergĂ©nĂ©rationnelle n’est plus aussi forte qu’avant. Alors que chaque senior a eu plusieurs vies, a une richesse liĂ©e Ă  l’expĂ©rience que personne ne peut lui enlever, on le rĂ©duit souvent Ă  une personne en perte de vitesse, une personne amoindrie, que l’on n’écoute plus, que l’on infantilise trop souvent. Pourquoi ne nous pressons-nous pas, au contraire, pour Ă©couter leur sagesse, leur expĂ©rience de vie avant qu’il ne soit trop tard. Lors d’un groupe de crĂ©ativitĂ© rĂ©alisĂ© avec des seniors et des aidants professionnels et familiaux, tous les seniors nous ont dit on ne veut plus nous Ă©couter , on ne sert plus Ă  grand-chose ». Il est indĂ©niable qu’’ils ont plus de temps que nous, qu’ils ne sont plus productifs d’un point de vue Ă©conomique 
 mais au contraire est-ce que comme me le disait une TandĂ©mienne ces aĂźnĂ©s ne nous permettent-ils pas de se poser, d’ĂȘtre dans l’authenticitĂ©, d’arrĂȘter les Ă©crans ». C’est Ă  nous aujourd’hui de tout faire pour changer ce regard, pour le transformer et arrĂȘter de devoir mettre le BIEN de le verbe VIEILLIR comme si VIEILLIR Ă©tait nĂ©gatif, dĂ©gradant 
Alexandra de Saivre Fondatrice de Tous en Tandem Peut-on parler de diffĂ©rentes formes de vieillesse ? Si l’on en croit les derniĂšres projections, la France devrait compter plus de deux millions de personnes dĂ©pendantes en 2040. C’est donc un fait la France vieillit. En effet, 31% de la population française aura plus de 60 ans en 2030, contre 18% en 1975. L’espĂ©rance de vie continue quant Ă  elle d’augmenter en 2030, elle sera de 82 ans pour les hommes et de 87 ans pour les femmes. Mais l’ñge de la dĂ©pendance augmente aussi estimĂ© Ă  78,5 ans en 2000, il passera Ă  84,5 ans en 2040. Bien sĂ»r il y a diffĂ©rents types de vieillesse, comme il y a diffĂ©rentes catĂ©gories de seniors. En effet, selon le rapport GĂ©nĂ©ration Seniors de Silver Valley, on peut diffĂ©rencier la gĂ©nĂ©ration consumĂ©riste 55-65 ans, la gĂ©nĂ©ration de l’individu 65-75 ans et la gĂ©nĂ©ration du collectif 75-85 ans. Parmi cette derniĂšre, il y a des personnes hĂ©donistes » qui partagent les plaisirs simples et la frugalitĂ©, des personnes engagĂ©es », qui s’associent Ă  des valeurs de solidaritĂ© et de collectivitĂ©, et des personnes repliĂ©es » quelque peu rĂ©signĂ©es. Oser parler du vieillissement comme une chance dans une sociĂ©tĂ© qui exalte l’efficacitĂ© est un vĂ©ritable dĂ©fi. Quand l’inactivitĂ©, la vieillesse sont les amis pauvres de la richesse ! 
Mais est-ce que celui qui justement a plus de temps aprĂšs une vie trĂšs active ne crĂ©e pas aussi de nombreuses richesses ?Les richesses humaines, la transmission de valeurs d’écoute, de rĂ©silience, d’engagement, de courage 
 Ces valeurs constitutives d’une sociĂ©tĂ© humaine et non d’une sociĂ©tĂ© individualiste. Je suis convaincue que ce changement de regard sur la vieillesse revalorisera nos aĂźnĂ©s, leur permettra de ne plus se sentir Ă  l’écart . Un des moyens l’ouverture des EHPAD, des rĂ©sidences autonomies, rĂ©sidences service sur l’extĂ©rieur pour ne pas rester en vase clos. Un autre la revalorisation des mĂ©tiers d’encadrement des aĂźnĂ©s. Une autre la sensibilisation des plus jeunes autour des publics fragilisĂ©s et des seniors ĂągĂ©s dĂšs le plus jeune Ăąge
 ; le dĂ©cloisonnement des structures, des lieux de vie 
 et une derniĂšre l’importance de la transmission intergĂ©nĂ©rationnelle Ă  mettre en du texte ci-dessus qui pose un regard croisĂ© entre la vieillesse en Afrique et celle en Europe » m’a perturbĂ© car il est trĂšs vrai. Mais c’est entrain de changer pour le bien-ĂȘtre de toute notre sociĂ©tĂ©, celui des aĂźnĂ©s actuels, celui des aĂźnĂ©s de demain. »D’ailleurs il est intĂ©ressant de se pencher sur l’évolution des termes Ă  travers les de Saivre, Fondatrice de Tous en Tandem Vieux, troisiĂšme Ăąge, quatriĂšme Ăąge, seniors, aĂźnĂ©s
 l’évolution de la terminologie Le Dictionnaire des personnes ĂągĂ©es, de la retraite et du vieillissement, paru en 1984, distinguait les jeunes vieux ». Entre 60 et 75 ans, biologiquement jeunes mais socialement ĂągĂ©s, et les vieux-vieux » plus ĂągĂ©s et pour qui les risques pathologiques et la probabilitĂ© de vivre seuls diffĂšrent de façon notable », donc physiologiquement et socialement ĂągĂ©s. EmployĂ© pour une personne, le terme vieux » est vite synonyme de grabataire », impotent », d’oĂč le souhait des personnes Ă  ne plus l’employer. Vieux » et vieillards » Ă©tant bannis du vocabulaire, on a recours Ă  l’expression personne ĂągĂ©e » que le dictionnaire de 1984 dĂ©finissait ainsi personne plus ĂągĂ©e que la moyenne des autres personnes de la population dans laquelle elle vit ». Les annĂ©es 1960 ont vu apparaĂźtre l’expression troisiĂšme Ăąge » au moment oĂč les conditions de vie des retraitĂ©s commençaient Ă  s’amĂ©liorer. Cette image, porteuse d’une idĂ©ologie activiste, Ă©tait rassurante et censĂ©e gĂ©nĂ©rer des comportements en conformitĂ© avec ceux des autres catĂ©gories d’ñge, tels que le sport, les Ă©tudes, les loisirs, les voyages
 Une maniĂšre, pour ceux qui y adhĂšrent, de se sentir bien intĂ©grĂ©s dans la sociĂ©tĂ©. Le troisiĂšme Ăąge ayant Ă©chouĂ© Ă  recouvrir l’ensemble de la population ĂągĂ©e, il a fallu par la suite inventer l’expression quatriĂšme Ăąge » qui dĂ©signe l’ensemble des personnes trĂšs ĂągĂ©es ou invalides ĂągĂ©es ». Aujourd’hui, ces expressions ne sont guĂšre utilisĂ©es, peut-ĂȘtre parce qu’elles catĂ©gorisent et renferment plus qu’elles ne dĂ©signent. Le vieillissement d’une vie C’est le terme senior » a aujourd’hui le vent en poupe. Ce dernier a pour vocation de dĂ©signer l’ensemble des gens ĂągĂ©s, nouveaux consommateurs, nombreux et fortunĂ©s » Treguer, 2002. SuccĂ©dant chronologiquement aux seniors, apparaĂźt la figure de l’aĂźnĂ©. L’aĂźnĂ© se situe en rĂ©fĂ©rence au cadet. Bien vieillir est donc devenu un enjeu de santĂ© publique. Il s’agit d’éviter les maladies et la perte d’autonomie, d’avoir un bon fonctionnement physique et mental, c’est-Ă -dire de rester cognitivement et physiquement apte, enfin de continuer Ă  ĂȘtre socialement engagĂ©, socialement actif. Finalement, il s’agit de prĂ©server un Ă©tat au cours d’un processus qu’est le vieillissement =vieillissement rĂ©ussi. Pourquoi le terme bien-vieillir et mieux-vieillir est utilisĂ© ? La notion de bien-vieillir, Ă  l’origine d’un changement de mentalitĂ© face au vieillissement, a quant Ă  elle connu un regain d’intĂ©rĂȘt ces derniĂšres annĂ©es. De nombreuses Ă©tudes ont dĂ©montrĂ© que l’on vit plus longtemps, en meilleure santĂ©, en Ă©tant plus actif. Bien vieillir, c’est vieillir avec une bonne santĂ© mentale, prĂ©venir son propre vieillissement par le biais d’activitĂ©s culturelles, intellectuelles et grĂące Ă  une vie sociale Ă©panouie. Pour bien vieillir il faut prĂ©venir, anticiper les ruptures importantes de la vie perte d’une conjointe, sĂ©paration, Ă©loignement physique de sa famille, dĂ©part Ă  la retraite, chute rĂ©duisant sa mobilitĂ©, placement en maison de retraite 
 pour les dĂ©passer. Il faut les accompagner au mieux pour ne pas sombrer dans une spirale nĂ©gative. Vieillir n’est pas facile car il faut faire le deuil d’une vitalitĂ© perdue, mais il me semble que la seule façon de l’accepter c’est de ne pas renoncer, de garder un rĂŽle au sein de la sociĂ©tĂ©, de sa » sociĂ©tĂ©. Ce lien social est une façon de rester utile, d’avoir un rĂŽle pour autrui, sentiment qui fait vivre ! Le bien-vieillir c’est la capacitĂ© Ă  vieillir en bonne santĂ© mentale et physique mais c’est indiscutablement liĂ© Ă  la volontĂ© de vieillir le mieux possible. En effet, bien que si certaines exigences pour bien vieillir soient Ă©videmment indĂ©pendantes de notre volontĂ©, certaines en dĂ©pendent comme l’engagement dans des activitĂ©s sociales ou encore des comportements positifs pour notre santĂ© alimentation, activitĂ© sportive
 »Je conclurais en citant PCV Boiste, qui en 1800, disait une mĂ©moire active et fidĂšle double la vie », j’aimerais pouvoir dire une mĂ©moire active et fidĂšle au contact des TandĂ©miens, la triple !Alexandra de Saivre, Fondatrice de Tous en Tandem Des ateliers innovants pour dynamiser la vitalitĂ© des seniors Des offres testĂ©es et approuvĂ©es par les seniors et les professionnels Depuis plus de 3 ans, notre expĂ©rience quotidienne auprĂšs des seniors nous montre tous les bĂ©nĂ©fices que leur apporte la relation intergĂ©nĂ©rationnelle au cƓur de nos sĂ©ances culturelles les seniors retrouvent de l’énergie, reprennent confiance en eux et se sentent utiles. L’encadrement des TandĂ©miens et la rĂ©gularitĂ© de leur prĂ©sence auprĂšs des aĂźnĂ©s sont les deux facteurs indispensables pour que cette relation ait un impact positif sur le bien-ĂȘtre des seniors.
Letrain de la vie. (Texte anonyme) A la naissance, on monte dans le train et on commence par rencontrer nos Parents. On croit qu'ils voyageront toujours avec nous. Pourtant, à une station, nos Parents Centerblog. Articles; Blogs; Images; Partager sur Facebook Partager sur Twitter. Rechercher. Gérer mon blog. Ajouter en ami. Accueil BOUDDHISME &
La vie est comme un voyage dans un train on monte et on descend, il y a des accidents, Ă  certains arrĂȘts, il y a des surprises et Ă  d'autres, il y a une profonde on naĂźt et qu'on monte dans le train, nous rencontrons des personnes et nous croyons qu'elles resteront avec nous pendant toute le voyage ce sont nos parents! Malheureusement la vĂ©ritĂ© est toute autre. Eux ils descendent dans une gare et ils nous laissent sans leur amour et leur affection, sans leur amitiĂ© et leur tous cas, il y a d'autres personnes qui montent dans le train et qui seront pour nous trĂšs importantesCe sont nos frĂšres et nos soeurs, nos amis et toutes les personnes merveilleuses que nous considĂšrent le voyage comme un petite ne trouvent que de la tristesse pendant leur y a d'autres personnes toujours prĂ©sentes et toujours prĂȘtes Ă  aider ceux qui en ont besoin. Certains quand ils descendent laissent une nostalgie pour toujours
D'autres montent et descendent tout de suite et nous avons tout juste le temps de les croiser
Nous sommes surpris que certains passagers que nous aimons, s'assoient dans un autre wagon et que pendant ce temps nous laissent voyager personne peut nous empĂȘcher de les chercher partout dans le malheureusement nous ne pouvons pasnous asseoir Ă  cĂŽte d'eux car la place est dĂ©jĂ  n'est pas grave
le voyage est comme ça plein de dĂ©fis de rĂȘves, d'espoirs, d'adieux
.mais sans de faire le voyage de la meilleure façon de comprendre nos voisins de voyage et cherchons le meilleur en chacun d'entre nous qu'Ă  chaque moment du voyageun de nos compagnons peut vaciller et peut avoir besoin de notre aussi pouvons vaciller et il y aura toujours quelqu'un pour nous grand mystĂšre du voyage est que nous ne savons pas quand on descendra du train pour toujours, Nous ne savons pas non plus quand nos compagnons de voyage feront la mĂȘme chose. MĂȘme pas celui qui est assis juste Ă  cĂŽte de je pense que je serai triste de quitter le train
.j'en suis sĂ»r!La sĂ©paration avec tous les amis que j'ai rencontrĂ©s dans le train sera douloureuse, laisser mes proches seuls sera trĂšs triste. Mais je suis sĂ»r qu'un jour ou l'autre j'arriverai Ă  la gare centrale et je les reverrai tous arriver avec un bagage qu'ils n'avaient pas quand il sont montĂ©s dans le contre je serai heureux d'avoir contribuĂ© a augmenter et enrichir leur bagageNous tous mes amis, faisons tout le possible pour faire un bon voyage et essayons de laisser un bon souvenir de nous au moment oĂč nous descendrons du train. A ceux qui font partie de mon train, je souhaite unBON VOYAGE! Source Anonyme...
. 209 195 440 95 478 309 456 154

le train de la vie texte